19 décembre 2005

Les temps modernes

Des cadres tiermondistes se lamentent aujourd'hui du travail à la chaîne qui leur a été infligé par les capitalistes occidentaux. Ces derniers se vantent de leur avoir assuré du travail dans un paysage économique précaire. En effet, les investisseurs locaux ne se hasardent plus dans des projets à fort capital humain et laissent la main aux promoteurs étrangers pour exploiter à fond leurs concitoyens. Certes, ces pseudo-cadres sont relativement bien payés mais pour des tâches habituellement confiées à du personnel non "diplômé" dans les pays d'origine des activités.

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